Urinoir féminin le pisse droit de Maîtresse Béart

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il y a 10 ans
  • Je crois que je suis encore tombée sur un souminateur* ! Dit soudain Maîtresse Béart, un nom de dominatrice choisi il y a des années en référence à l’exceptionnelle beauté de cette actrice dont Laura est fan.
  • souminateur : expression caractérisant un soumis se croyant sur Les 3 suisses et pouvant commander la domination désirée comme sur un catalogue.
  • Ah bon, encore un, mais tu m’avais dit qu’il te semblait bien celui-là. Lui répond Maîtresse Yasmine, une dominatrice expérimentée et cruelle, elle aussi à la recherche de chiens sans collier pour leur servir de larbin. Vire-le j’en ai peut-être trouvé un.

  • J’hésite à le virer parce qu’il est certifié sur Fessestivites, ce qui nous prouve qu’il existe et semble sérieux.

  • Alors fais-le venir pour qu’on le teste et qu’on s’amuse un peu avec lui, s’il nous emmerde, nous lui ferons la misère et il regrettera d’avoir des couilles. Lui répond Yasmine, une véritable adepte du ballbusting, réputée pour avoir le pied « lourd ».

  • Ce qui me titille c’est qu’il s’est dévoilé en insistant un peu trop sur mon champagne doré, je crois plutôt qu’il a plus envie de me mater et de me bouffer la chatte que de boire le « nectar de sa Maîtresse », une de ses expressions récurrentes.

  • As-tu vu ce qu’ABCplaisir a sorti cette semaine ?

  • Non, c’est quoi ?

  • Un truc pour pisser debout, tu le plaques contre ta chatte et tu pisses comme les mecs. Remarque c’est pratique quand les toilettes sont dégueulasses et cela peut aussi servir pour ceux qui veulent boire notre pisse.

  • C’est amusant ça ! Répond Maîtresse Béart en se glissant entre les jambes de Yasmine pour déposer de doux baisers lesbiens dans la vallée des plaisirs féminins avant de s’attarder sur le clito ne demandant qu’à être titillé.

  • Tu veux boire ma pisse ? Répond Yasmine étonnée.

  • Non, je te veux toute entière ! Lui répond Maîtresse Béart avant de devenir plus entreprenante avec son amie.

Cinq minutes plus tard, les belles convolent en justes câlins saphiques dans leur chambre en un concert de vibromasseurs magic wand et de tendres caresses.

……………………

Loïc n’en croit pas ses yeux, après des années de recherche sur internet, ce n’est pas une Maîtresse qu’il vient de trouver mais deux Maîtresse sur Fessestivites ! ! !

Elles vivent en couple mais sont bisexuelles d’après les profils et recherchent un soumis pour les servir dans le cadre d’une relation régulière. Il répond donc avec les formes d’usage à toutes les questions qu’elles lui posent, indique ses limites puis ses deux numéros de téléphone pour qu’elles puissent constater qu’il est sérieux et réellement disponible.

Le pauvre !

Le pauvre parce qu’il n’a aucune idée de ce que peuvent faire deux femmes dominatrices ensembles quand elles ont décidé de s’amuser avec un soumis.

……………

Le jour du rendez-vous, il se présente à l’adresse indiquée et attend à l’arrêt de tram avec, comme demandé, un bouquet de roses devant son visage. Les voyageurs le regardent amusés attendre sans monter dans le tram. S’il exécute cet ordre surprenant malgré son immense gêne, c’est parce qu’il est convaincu qu’elle l’observent, mais comment savoir où elles sont et qui elles sont sur cette grande place entourée de brasseries ? Deux tramways plus tard, deux femmes l’accostent et le félicitent, timide de nature, il rougit comme une écrevisse encore en vie se demandant si elles savent qu’avant de cuire des écrevisses, il est préférable de les châtrer ! C'est à dire retirer l'intestin ou "boyau" qui va du coffre à la nageoire caudale à l'intérieur de la queue.

Invité à les suivre en marchant deux mètres maximum derrière elles, ils parviennent à la porte d’un immeuble où Yasmine compose de code sur le digicode et attend. Patient de nature, Loïc attend aussi ce qui est sa première erreur.

  • Ducon, c’est moi qui ouvre la porte ? Lui crie Maîtresse Béart.

  • Il commence mal celui-là, tu vas avoir du travail avec lui si tu veux que nous le gardions. Ajoute Maîtresse Yasmine amusée de la mine déconfite de Loïc et de ses excuses.

Arrivé dans un majestueux appartement richement meublé d’un immeuble Haussmanniens Loïc est invité à se mettre à l'aise, traduire par « à poil » et à quatre pattes aux pieds du canapé le temps que les filles vaquent à leurs occupations. A leur retour, elles lui confient le service avec une bouteille de champagne bien frais, celui du soumis étant jugé trop chaud. Et là, l’inquisition féminin commence par un véritable interrogatoire visant à le déstabiliser pour savoir réellement quelles sont ses intentions.

Soumis Loïc est perturbé car elles s’amusent comme des folles de ses réponses et réactions. Soudain, les complices lui tendent leurs bottes à lécher, un dilemme se pose au soumis, par lesquelles commencer ? A genoux devant deux magnifiques paires de jambes croisées délicieusement bottées, il n’a d’yeux que pour ce qu’il essaye d’apercevoir.

  • La larve, au lieu de mater nos cuisses, lèche ! Lui indique Maîtresse Béart après lui avoir donné une gifle retentissante.

Dépité et surpris, il lèche aussitôt les bottes de Maîtresse Béart même s’il n’est pas fétichiste du pied. Maîtresse Yasmine l’insulte aussitôt en lui demandant si les jambes de Maîtresse Béart sont pus belles que les siennes pour avoir la priorité du léchage de botte.

  • Mais non Maîtresse, elles sont ravissantes, je vous prie de bien vouloir m’excuser. Répond Loïc en baissant les yeux.

  • Quoi tu dragues ma copine alors que tu ne veux pas lécher ses bottes ? Demande Maîtresse Béart.

A ce petit jeu, le pauvre Loïc ne sait plus où donner de la tête, car elles le poussent à l’erreur et s’amusent à en provoquer sans cesse. Pour ses erreurs à répétition, elles lui posent une paire de pinces à sein japonaises qu’elles s’amusent à tirer de la pointe des pieds qu’il ne lèche pas, n’ayant qu’une langue pour lustrer quatre bottes. Les rires donnant soif, la bouteille de champagne ne dure point. Si les bulles s’évaporent, le précieux breuvage, lui, descend et suit à parcours commun à tous vers une poche naturelle appelée vessie qu’il convient de vidanger de temps en temps.

  • Alors comme ça tu rêves de boire mon champagne dorée ?

  • Ah oui Maîtresse, ce serait un honneur. Répond Loïc.

  • N’aurais-tu pas plutôt envie de mater et bouffer ma chatte ?

  • Ah non Maîtresse, mais si vous m’autoriser à la lécher, je me ferai un plaisir de faire l’impossible pour vous donner du plaisir.

  • Petit prétentieux, penses-tu que ta langue puisse parvenir à me donner du plaisir ? Bon tu as assez dit de bêtises comme ça, allonge-toi par terre, je vais t’offrir mon champagne même si tu ne le mérites pas.

Soumis Loïc est ravi, il va pouvoir boire le champagne d’une ravissante Maîtresse et le voir couler d’une source dissimulée dans l’antre des plaisirs féminins. Il se plait même à espérer un facesitting et qu’elle le force à lécher la dernière goutte en se servant de lui comme papier toilette. Ces pensées coquines ne tardent point à engendrer un gonflement entre ses jambes et à étirer ses testicules devant un véritable appel pour la botte de Maîtresse Yasmine.

  • Hum, des couilles bien tendues, prêtes à s’offrir pour souffrir ! S’exclame aussitôt Maîtresse Yasmine.

Lorsqu’il voit Maîtresse Béart enjamber son visage, Loïc devine plus qu’il n’aperçoit sous la dentelles noire d’un brésilien les formes d’une chaton bien formé en ses pensés et prêt à ronronner sous les caresses de sa langue.

ET LA !

Et là, surprise ! Surprise car Maîtresse Béart se saisit de l’urinoir féminin le pisse droit acheté sur ABCplaisir qu’elle plaque contre sa conque vaginale en même temps qu’elle en écarte la protection en dentelle.

Il se trouva fort dépourvu Quand le chaton disparut Pas un seul petit morceau De lèvre ou du vermisseau. Ne s’offrit à sa vue Il aurait bien crié famine Chez la Maîtresse voisine Mais apprécia le danger De se faire castrer Le délicieux peton Jouant déjà avec son marmiton

L’urinoir féminin s’approcha de sa bouche qu’il ouvrit grand pour recevoir le précieux breuvage quelque peu salé et parfumé ! ! ! La Maîtresse ayant un accessoire lui permettant de pisser droit, il n’avait point d’excuse pour en laisser s’échapper sur le parquet.

  • Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien! Dansez maintenant.

Lui indiqua Maîtresse Yasmine en motivant le soumis de multiples petits coups de botte dans ses précieuses ridicules en de fortes circonvolutions autour du point central toujours aussi tendu. Le point central ne resta pas tendu très longtemps lorsque la Maîtresse lui assena un coup plus appuyé le faisant bondir puis recracher et renverser du champagne dorée.

La colère de Maîtresse Béart fut sans pareil, elle l’incita à lécher le parquet à coups de fouet avant d’éconduire le pauvre soumis de la même façon avec ses vêtements sous le bras.

Le soumis, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.

Ecrivaillon (en délire aujourd’hui)

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